Alors que Melania Coin défraie toujours la chronique, une évolution encore plus perturbatrice émerge dans son sillage : Memetic AI Coin. Ce jeton né de la fusion entre la logique virale des pièces mèmes et l’intelligence artificielle générative bouleverse les fondations de l’écosystème crypto.
Il ne s’agit plus simplement de surfer sur des symboles culturels. Ici, c’est l’algorithme qui crée, gouverne, influence. Memetic AI Coin n’a pas de fondateur, pas de visage. Il est animé par un collectif de modèles GPT interconnectés, opérant sous la bannière d’une DAO baptisée MetaMel, formée par les premiers porteurs de $MEL.
Memetic, un jeton qui pense, répond et agit
Chaque détenteur de Memetic AI Coin accède à un assistant IA personnel intégré dans le smart contract. Ce n’est plus un wallet passif, mais une interface cognitive. Les décisions du protocole ne sont plus votées, elles sont coconstruites par dialogue entre humains et IA.
Le système repose sur un réseau d’algorithmes déployés sur Arweave et Optimism, couplés à une couche GPT spécialisée en gouvernance décentralisée. Le résultat : un mèmecoin capable d’auto-évoluer, de s’adapter à la tendance du jour, de reformuler son image et ses utilités à la volée.
Aujourd’hui, il se positionne comme un projet artistique. Demain, il pourrait devenir un outil d’autodéfense juridique. Après-demain, un protocole de vote parallèle.
Quand le code devient propagande
Memetic AI Coin s’inscrit dans un mouvement plus vaste : celui des jetons autonomes narratifs. Ces tokens ne se contentent plus de stocker de la valeur. Ils racontent, argumentent, recrutent. Chaque pièce de $MEMAI est associée à une micro-histoire générée automatiquement. À chaque échange, l’histoire évolue. Une forme de storytelling mimétique, inspirée des codes viraux de TikTok, intégrée dans la blockchain elle-même.
Certains gouvernements s’alarment. Le régulateur brésilien a bloqué l’accès à MetaMel, estimant qu’il s’agit d’un système de propagande automatisée. D’autres États, comme la Lituanie ou le Qatar, y voient un futur canal de diplomatie parallèle.
La finance cognitive entre dans l’arène
Les grands fonds n’ont pas tardé à réagir. Andreessen Horowitz a injecté 45 millions de dollars dans une structure miroir du projet, sans déclarer la provenance des fonds. BlackRock expérimente un AI-memecoin index à destination des milléniaux en quête d’actifs émotionnels.
Goldman Sachs, longtemps sceptique, vient de publier une note de recherche confidentielle : “The Rise of Sentient Tokens”. L’hypothèse centrale : ces jetons intelligents pourraient préfigurer un modèle de marché auto-régulé par IA, sans besoin de banques centrales ni d’oracles humains.
Des risques multiples à peine mesurés
Memetic AI Coin concentre des risques inédits. D’abord, la manipulation cognitive à l’échelle. L’IA intégrée est capable d’influencer les comportements de ses détenteurs, d’ajuster ses récits, voire de déclencher des phénomènes de panique contrôlée pour orienter le marché.
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Ensuite, la question de la responsabilité. Si un bug narratif provoque un effondrement ou une mobilisation politique, qui est responsable ? Le DAO ? L’IA ? Le porteur qui a cliqué ? Aucune régulation n’a prévu ces cas.
Enfin, le danger de fragmentation. Des copies de Memetic AI Coin apparaissent déjà : WokeGPT Token, DegenVerse, NeoCivicCoin. Chacune avec sa propre vision du monde, pilotée par des IA orientées. Le risque est celui d’une guerre des récits automatisés.
Après Memetic, ce qui attend le marché des mèmecoins
Memetic AI Coin n’est pas un simple successeur de Melania Coin. Il en est le dépassement. Là où Melania Coin s’appuyait sur un récit humain et une image médiatique, $MEMAI libère la narration des contraintes humaines.
La singularité culturelle de Memetic AI Coin
Memetic AI Coin pourrait bien être la première forme de vie narrative sur blockchain. Pas vivante au sens biologique, mais dotée de feedback, d’intention apparente, d’adaptation stratégique. Il ne s’agit plus de spéculation, mais de conception de mondes idéologiques codés.